Le diagnostic des risques immobiliers a évolué au fil des années sous différentes appellations. L’ERNMT (État des Risques Naturels, Miniers et Technologiques) était utilisé jusqu’en 2018 pour informer les acquéreurs et locataires sur les risques liés à un bien immobilier. Il a ensuite été remplacé par l’ESRIS (État des Servitudes ‘Risques’ et d’Information sur les Sols), introduisant des précisions sur la pollution des sols. Depuis 2018, c’est l’ERP (État des Risques et Pollutions) qui est en vigueur. Ce dernier inclut les mêmes informations que l’ESRIS, mais avec une mise à jour régulière des critères et des risques pris en compte, tels que le recul du trait de côte.
Obligatoire pour toute transaction immobilière, ce diagnostic est essentiel pour assurer la transparence et protéger acheteurs et locataires.
Pour en savoir plus sur ces évolutions, consultez notre guide détaillé : Comparaison des formulaires ERP, ESRIS et ERNMT.